ce message s'apelle compromis musclé entre

ce message s'apelle compromis musclé entre l'anatheme stupéfiante d'une fille domestiquée et le reste du monde c'est trés nombriliste et bete certainement mais en meme temps ça ferait un super roman , non? l'instant critique serait le moment ou l'héroine un peu trop fumée aurait décidé de grimper sur un toit pour voir s'il y avait du monde de l'autre coté de son univers elle s'apprétais a en délimiter les contours et a envisager ce monde (oh grand et méchant le monde) pour qu'enfin elle n'ai plus peur du vide, elle était la haut perchée (un peu comme moi a cet instant) et un peu soule de tout elle s'assit sur le toit comment regardait t'elle du haut du toit ? qu'est ce qu'elle pouvait bien voir? et surtout pourquoi un toit au juste? un toit parcequ'elle avait trouver le chemin le plus court pour monter au ciel et puis aussi un toit parcequ'elle avait comme je l'ai déjà une trouille bleue du vide , ce qu'elle regardait était trés simple , infime , en fait elle regardait au dessus des antennes et des paraboles un voile un peu fatiguée par sa route lui aussi qui battait contre un autre toit cherchant comme elle a se libérer , il n'avait pas de conscience , il ne pouvait pas la voir , mais ils avaient tout deux le meme but, qui des deux aurait pu croire ou voir en l'autre autre chose qu'un morceau d'un quelque chose d'indeffinissable, bien sur la fille était vivante elle avait un coeur des reins un foie des yeux , pourtant suspendue entre le ciel et la terre elle était aussi mal foutue que lui , elle ne cessait pourtant de regarder le ciel , il ne cessait de tenter de le regagner, tout deux étrangers objets et chairs, chairs devenue abimée comme l'objet était soudainement plus beau, pendant que dans le regard voilé de la fille , le soleil se couchait. ce n'est pas une histoire qui fini bien, ce n'est pas meme une histoire qui fini, ce sont le regard et l'absence de ressentis , l'envie désabusée de tuer toute emotionnalité qui porte cette voix étrangère et imaginaire jusqu'a ton crane , ton cerveau échauffé te faire dire soudain qu'aucune histoire n'a de sens (du moins ici). pourquoi avec cette facilité enfantine et un brin stupide suggérer la fin d'un ètre ? peut ètre parcequ'il n'y a pas de fin véritable pas de fossé qu'on ne puisse franchir, peut ètre que cette fille là va recouvrir d'un nouveau regard la vie qu'elle comptait comme perdue, peut ètre qu'elle va quitter le toit et mourir vraiment autrement que face a un voile nimbée par la lumière d'un soleil trop lointain, peut ètre qu'elle ne quittera jamais le toit assise la passagère ephemere d'un voyage semblant pourtant éternel prostrée et vide face au voile qui aura lui depuis longtemps disparu. peut ètre.